mardi 30 juin 2015

Dieu est Dieu

Jonctions, rencontres, espace sensationnel :
Jouvence peut être le nom du Net sans label.
Jouant mon va-tout pour contacter cet untel,
J'oubliais mes peurs et lançait l'appel.

J'osais et voici qu'un bel,
Joyeux échange naissait, bien réel.
Jolie reconnaissance car restant tel quel
Joignant nos idées en ton pastel.

Jovial est cet homme, rappel
Joueur du temps immortel.
Joker à la voix digne d'un gospel,
Joyau qu'est ce rire doté de décibel.

Jonglant avec un esprit universel
Joutes et analyses critiques passent à son scalpel.
Jour béni que ce mail providentiel,
Joël, mon Ami, je te dédicace ce poème atemporel.

http://raphaelhernandes.com/author/rhhernandes/

Etymologie du prénom Joël : Dieu est Dieu (hébreu).

dimanche 28 juin 2015

Cristal'un

Il fut un temps où tout était clair et vivant
Entre les différents règnes sur Terre.
D'une seule émission de vibration chantante,
Les êtres en relation se lisaient comme à travers du verre.

Autant dire que l'existence en était simplifiée
Et surtout la vie basée sur le respect.
Là où l'incompréhension aurait pu prédominer,
Chaque acte était transparent à souhait.

Cette époque vécue est révolue, mais non perdue.
Une certaine nostalgie d'ailleurs nous la rappelle ;
Il  ne tient qu'à nous d'affirmer en temps voulu
Cette posture comme postulat de communication interpersonnelle.

Se montrer tels que nous sommes,
C'est se révéler avec Amour à l'Autre.
Voir l'Autre tel qu'il est, à l'image d'un rhizome,
C'est l'accueillir comme s'il était nôtre.

Encore faut-il avoir le courage
De se dévoiler et de s'aimer soi-même.
Comment recevoir de son vis-à-vis des mots sages
Si on ne peut les intégrer à son propre schème ?

Voici donc le chemin à prendre
Frères et Sœurs de Cœur.
Soyons libres de prétendre
A être qui nous sommes sans peur.

Oublions ce rêve de perfection,
Expérimentons avec plaisir,
Chérissons le Vivant à profusion
Gardons le partage comme point-de-mire.

http://www.fr.blog.baikalnature.com/tag/banquise/



mardi 23 juin 2015

En aval

Tout commence avec un petit ru,
Léger et glougloutant activement,
A la recherche de quelque chose de disparu
Mais il ne sait pas quoi forcément.

Il prend de la force et de la vigueur,
Se fait rivière cascadant à travers champs,
Collines et vallons tout en rondeur,
Abreuvant animaux et végétaux en même temps.

Ce filet d'eau devient de plus en plus important,
Rassemblant au gré de son parcours
D'autres comparses et affluents,
Si bien qu'on le nomma fleuve sans détour.

Mais c'est sans compter sur cette intuition,
Cet appel fort et impérieux
D'aller de l'avant sans opposition
A cette voix intérieure et son cœur amoureux.

Le voilà à ce jour majestueux et imposant.
Ses flots sont vrombissants et porteurs de vie.
Il se déploie alentour au gré du temps,
Tantôt calme et serein, tantôt vif et investi.

Et voici qu'après toute cette distance parcourue,
Une joie intense se déploie dans ses eaux,
Car là, devant lui, il trouve ce qu'il a tant attendu :
La Mer, l'Océan, où tous se rejoignent dans un parfait tempo.

Enfin il peut se déployer corps et âme,
A l'infini et sans retenue aucune.
Chaque goutte de cette étendue le charme
Car de nouveau avec lui, elles ne font qu'une.

De cette vaste identité retrouvée,
Des gouttes se forment à divers endroits,
Dans le sol, dans l'air, dans le ciel, condensées.
Et alors, un petit ru peut partir à la recherche d'un je-ne-sais-quoi...

http://normandy50.over-blog.com/article-gouttelettes-58585844.html

samedi 20 juin 2015

Métamorphe

Belle de jour, ombre de nuit,
Ainsi vivait une âme solitaire sans bruit.
Scintillante, étincelante, superficielle face à autrui,
Coléreuse, ombrageuse, dense était-elle dès minuit.

Elle s'était fait une raison après plusieurs essais
Pour basculer définitivement du côté lumière.
Car dans son idée, on ne peut être ténèbres
Et avoir une vie respectable et fière.

C'est donc avec désillusion qu'elle jouait son rôle,
Souriante et aimable, affable et frivole.
Nul ne se rendait compte dans quelle geôle
Elle retenait cette partie d'elle-même dans une camisole.

Jusqu'au jour où elle fit la rencontre
D'un personnage appelé Azar, qui se montre
Toujours là où l'on ne l'attend pas et contre
Lequel aucun artifice ne peut fondre.

Ce dernier avait revêtu l'habit
D'un singulier jeune homme bien bâti.
D'un seul coup d’œil aguerri,
Celui de l'Amour, il lui dit :

"Un sourire grimé ne vaut pas
Une bouche fermée mais juste, là,
Car elle sera en adéquation parfaite via
Le cœur et la posture présentés par toi.

Tu voudrais ne montrer de ta personne
Que du blanc, du doux, du tendre qui résonne
Une mélodie de bienséance et respectabilité bonne...
Bref, une jolie comédie avec un scénario monotone.

C'est insipide à souhait, ne trouves-tu pas ma belle ?
Quel ennui, cette vie qui a comme nom "perfection" pour label !
Ce qui fait la rareté du diamant est son inclusion naturelle :
Prends-le en exemple et exploites tes incongruités personnelles.

Tu es colérique, jalouse, obsessionnelle... et alors ?
Regardes à combien de reprise ceci t'a aidé dans l'effort !
Pourquoi vouloir se scinder en deux avec remords
Et vivre de sorte une existence aux portes de la mort ?"

Ses propos eurent l'effet d'une gifle cinglante
Pour notre héroïne qui se voulait en société pimpante...
Après un premier réflexe de déni et de pure haine pour l'impudent,
Petit-à-petit, les paroles d'Azur infusèrent lentement.

Ainsi, à présent, quand elle souriait, c'est parce qu'elle le voulait.
Ainsi, à présent, quand elle criait, sa colère était juste et sans regret.
Ainsi, à présent, quand elle tenait bon sa place, elle cultivait le respect.
Ainsi, à présent, quand elle aimait, tout en elle vibrait et s'épanouissait.

http://www.arcturius.org/chroniques/metamorphose-chenille-hilarion-via-jean-paul-thouny/



mercredi 17 juin 2015

... et le début c'est la fin

C'est ton regard en premier lieu qui me capte,
Oui, c'est ça, capture est le bon mot.
Je m'y plonge corps et âme, comme un rapt,
Et ce, en quelques secondes illico.

Puis c'est le son de ta voix qui m'enveloppe,
Tout comme le feraient des bras chaleureux,
Une mélopée de phrases qui galopent
Donnant la sensation d'une chevauchée fougueuse.

Ce sont ensuite tes mains, aimantes et douces
Qui n'ont rien d'enfermant ni d'insistant.
Elles suivent librement leurs voies et épousent
Avec tendresse les gestes des aimants.

Cette alchimie qui se déploie,
Je souhaite à tous de l'éprouver.
Fille ou garçon, qui que tu sois,
Puisses-tu ressentir ce partage illimité.

Interconnectés, nous le sommes tous d'office ;
Cependant à ce jour débranchés, ou plus tôt
Logués mais pas sur les bonnes prises.
A nous tous d'investir la réalité qui est nôtre.

J'imagine ainsi que demain,
Je me promène le cœur ouvert et confiant.
Au détour d'une rue, tu apparais au loin...
Nous nous rapprochons et nous nous disons, rayonnant :

C'est ton regard en premier lieu qui me capte....

http://lejardindejoeliah.com/2013/05/30/vous-etes-laimant-de-tout-ce-qui-vibre-sur-la-meme-frequence/

La fin n'est que le début...

Version 1 : 

Ame brillante parmi la foule alentour,
Amoncelée de remords et criant au secours,
Amnisties-toi et tiens bon face au compte-à-rebours :
Amalgames les fils de ta trame en velours.

Ambitionnes une voie qui mène loin, sois sans retour !
Amas d'ouragans, de tempêtes, de volcans : rien ne te laisse gourd.
Amuses-toi, régales-toi, savoures !
Amis et chants vont de pair pour toujours !

Amplifies cette force en toi tout autour ;
Amadoues les lézardes qui t'échinent et te laboures ;
Amorces la poignée des projets aux multiples atours :
Amen ! Tout s'enclenche tour à tour !

Amendes-toi du mieux que tu peux sans détours,
Amon-Rê tend ses bras face à ta bravoure.
Amènes avec toi sur ton parcours
Amazones, anges et être merveilleux pour t'accompagner durant ton séjour.


Version 2 : 

Ame brillante parmi la foule bigarrée,
Ourlée de remords et réprimée,
Amnisties-toi et tiens bon face à la marée :
Ourdies les fils de ta trame entamée.

Ambitionnes une voie qui mène loin, sois libérée !
Ouragans, tempêtes, volcans, rien ne peut te consumer !
Amuses-toi, régales-toi de magnifiques contrées...
Hourvaris et chants vont de pair pour s'affirmer !

Amplifies cette force en toi tant décriée,
Hourdes les lézardes qui t'échinent à l'accoutumée,
Amorces la poignée des projets qui te sont destinés :
Hourra ! Tout s'enclenche à point nommé !

Amendes-toi du mieux que tu peux sans procès.
Ouranos tend ses bras pour t'acclamer.
Amènes avec toi pour t'accompagner
Houris, anges et être merveilleux "in-formés".


Version 3 :

Ame brillante parmi la foule bigarrée,
Ourlée de remords et criant sa liberté,
Amnisties-toi et tiens bon face à la marée,
Ourdies les fils de ta trame à tisser.

Ambitionnes une voie qui mène loin, sois enthousiasmée !
Ouragans, tempêtes, volcans, rien ne peut te consumer !
Amuses-toi, régales-toi de magnifiques mets...
Hourvaris et chants vont de pair pour s'affirmer !

Amplifies cette force en toi tant bridée,
Hourdes les lézardes qui t'échinent à l'excès,
Amorces la poignée des projets qui te sont destinés :
Hourra ! Tout s'enclenche comme tu l'as imaginé !

Amendes-toi du mieux que tu peux sans te réprimer.
Ouranos tend ses bras pour t'acclamer.
Amènes avec toi pour essaimer
Houris, anges et être merveilleux "in-formés".

http://www.flickriver.com/photos/23416307@N04/tags/oiseaux/

samedi 13 juin 2015

Parcelles d'infini

Un rai de Soleil et une coruscation de Lune
Se tenaient par la main quand soudain
La dualité croisa leur chemin.
En ni une ni deux leur idylle ne fut plus que brume.

Dans le Ciel, la consternation était reine :
Comment faire pour pouvoir se rencontrer à nouveau ?
L'un de jour, l'autre de nuit, quel créneau
Restait-il pour les deux amoureux en peine ?

La solution leur apparut, simple comme bonjour :
S'incarner dans deux êtres aptes à gérer les deux aspects,
Un homme et une femme qui s'aimeraient
En tout respect, et d'un profond amour.

Homme Soleil et Femme Lune, prenez le temps
De ressentir en vous cette Lumière
Qui rayonne de ces deux astres sans frontière,
Cette douce chaleur, aimante et vibrante.

http://littlesun.canalblog.com/archives/2006/01/18/340843.html

mercredi 10 juin 2015

Et si tu n'existais pas...

Deux cœurs complètement disparates
Tentaient tant bien que mal de regagner leurs pénates.
Peine perdue : à chaque retour là-haut,
Sur Terre on les renvoyait aussitôt.

Pleins de colère et de rancune ils étaient,
Et beaucoup d'incompréhension en effet
Car selon les deux, le problème ne venait pas d'eux
Mais bien de l'Autre, palsambleu !

Pour l'un et le deuxième tous les efforts
De leurs côtés avaient été effectués au prix fort !
Alors, hein, n'était-ce pas de la bonne volonté,
Et que faire de mieux pour accéder à la Liberté ?

Heureusement, le Hasard a bien voulu se mêler
De cette affaire sans issue et tiraillée
Par le biais d'un texte écrit sur intuition
Qui s'égara d'une boîte aux lettres à sa voisine de location.

Un joli quiproquo naquit, avec son lot d'ennuis
Mais une rencontre fortuite devint une relation suivie.
Là où bien des existences avaient échoué
Dans l'expérience de partage, celle-ci de succès fut couronnée.

L'un des cœurs put enfin dire à l'Autre
Combien il avait attendu ses tendres mots.
L'autre cœur put enfin recevoir du premier
La confirmation qu'il pouvait aimer.

Leur vie terrestre fila bien vite à leur goût,
Eux qui rêvaient de rentrer coûte que coûte.
Alors, quand l'influx de vie quitta leurs corps,
Contre toute attente, ils en redemandèrent encore.

http://www.joedassin.info/en/chanson-paroles56.html


lundi 8 juin 2015

Pensée du lundi 8 juin 2015 par Omraam Mikhaël Aïvanhov

Je ne peux que partager sa vision... merci Joël !

La Poésie doit imprégner toute notre vie


« La poésie, tous pensent savoir ce que c’est. Oui, ils le savent, mais dans les livres, pas dans la vie. Dans la vie, la plupart sont prosaïques : froids, figés, ternes, terre-à-terre, rien de subtil n’émane d’eux. Ils abandonnent la poésie aux poètes qui l’écrivent, et même si, de temps en temps, ils lisent un peu quelques vers, la vie qu’ils mènent n’est pas du tout poétique. C’est pourquoi il faut qu’une nouvelle conception de l’art leur apprenne désormais à vivre jour et nuit dans la poésie, c’est-à-dire à manifester quelque chose de lumineux, de chaleureux, d’expressif, de subtil. Et à ce moment-là on commencera aussi à les aimer.
Les humains ont besoin d’être aimés, ils ont besoin d’établir de bonnes relations entre eux, mais on dirait qu’ils font tout pour se repousser mutuellement : ils restent fermés, sombres, lourds. Comment peut-on être aimé quand on se montre tellement antipathique ? Pour être aimé, chacun doit apprendre à vivre une vie poétique afin d’apporter aux autres la chaleur et la lumière. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

dimanche 7 juin 2015

Photosynthèse

Dans un monde paisible et verdoyant,
Où la terre est fertile, accueillante,
Une graine décide de se poser
Moelleusement, afin de s'y enfouir bien nichée.

Au-dedans de ce sol fécond,
Elle sent pousser un germe long,
Comme une antenne qui déploie ses sens
Pour aller goûter aux saveurs extérieures denses.

Après la suave obscurité chaude de la terre,
C'est un kaléidoscope de couleurs, de lumière
Qui l'accueille toute entière, comme une vibration
D'Amour tout alentour à profusion.

Alors, les pieds dans ce terrain, bien ancrée
Avec ses racines profondes et la tête élevée
Au ciel, tournée côté soleil rayonnant,
Notre petite graine devient peu à peu un hêtre géant.

De sa hauteur, il a une vue magnifique
Sur la vie qui l'entoure, et de manière symbiotique
Participe activement aux différentes existences qui lui sont liées
Grâce à ses racines, tronc, branches, feuilles et fruits dispersés.

Des siècles s'écoulent et s'inscrivent dans son bois.
Le vent, la pluie, les tempêtes, la neige ont entamé sa force d'autrefois.
Une bourrasque le secoue une fois de trop
Et le voilà déraciné, chu de tout son long par cette faux.

Le lent travail de décomposition vient nourrir l'humus et animaux
Qui rendent hommage à cet arbre vénérable et beau.
A l'abri de son immense tronc maintenant dégarni,
Une petite graine, tout doucement, y construit son nid.

http://www.grainesbio.com/graines-bio/

samedi 6 juin 2015

Rênes

Qui peut se targuer à ce jour
De dire : aujourd'hui, en cet instant,
Je suis là où j'ai choisi d'Etre,
En tout chose je suis accompli ?

N'est-ce pas l'essentiel atour
De cette vie que nous expérimentons pourtant ?
Est-ce que je prends le temps de mettre
En place des jalons libérateurs ou... je fuis ?

Alors si tu te poses ces questions, sans détours,
Tu es en bonne voie, marchant
En ouvrant tes yeux de dormeur qui te permettent
De prendre conscience que jusqu'à présent, tu survis.

C'est une remise en cause qui laboure
Intérieurement, certes, et qui sur le moment
Peut faire perdre pied, une sensation de disparaître
Du monde que l'on connaissait jusqu'ici.

Cependant, quand tu décides de toi-même pour
Créer, réaliser, matérialiser activement
Les directions, les choix qui te font renaître,
Littéralement, tu te révèles et déploies une infinie Energie.

Plus concrètement : faisons un retour
Sur une expérience que tu as vécu il y a quelques temps :
Tu as choisi, puissamment, de toi-même, sans paraître,
D'accomplir une action spontanée, sans y avoir réfléchi.

Ce peut être un baiser d'Amour,
Un courrier administratif, une visite à un parent.
En somme, rien d'insurmontable ou d'extraterrestre.
Rappelles-toi, dans ton corps, dans ton coeur, de tes ressentis.

C'est incroyable d'être aussi vivant, si court
Et si long tout autant
Que soit cet état de grâce terrestre...
En cet instant T, tu es toi, affranchi.

Tu vois, ce sont de simples actes sans discours
Ni trompettes, mais ils te rendent grand
Tout ça parce que tu es à ta place, Maître
De toi-même, et commanditaire de ta vie.

http://leslubiesdelouise.com/category/bien-etre/

mercredi 3 juin 2015

Supercalifragilisticexpialidocious

Etre un magicien tient à peu de chose,
Non pas dans une boîte à malice qui brille,
Mais comme Dorothée dans Oz
Où seul le cœur est son outil.

Qui n'a jamais vécu cette expérience,
Celle de rencontrer une personne inconnue
Dans la rue, et que son sourire de connivence
Ai réussi à magnifier votre journée de façon imprévue ?

Ou encore cet ami, plein de déception,
Que vous avez pris le temps d'écouter,
Et qui à la fin de la conversation
Repart avec le désir de continuer ?

Ca, c'est de la vraie Magie,
Sans artifices et bien réelle.
Usons-en à l'Envie
Car il est en nous, ce potentiel.

Elle tire son énergie de notre Cœur,
D'où une attention particulière à nos pensées
Qui parasitent notre génie créateur
Et nous font jouer des tours malaisés.

Nos gestes, nos mots sont porteurs de vibrations
Qui peuvent élever comme enfoncer celui qui est visé.
Comme avec une baguette magique, telle une sommation,
Une formule est énoncée, et une force y est liée.

Nous n'avons pas besoin de la panoplie
Pour se sentir magicien : cape, chapeau, baguette...
Car tout est déjà en nous, et oui !
Amour, idée et réalisation nous transforment en vedette !

Rappelons-nous à chaque instant
Le pouvoir qui réside à l'intérieur de nous tous :
L'Abracadabra que l'on présente, aimant,
A tous ceux qui en font la demande sans détours.

http://winds.fr/2012/03/supercalifragilisticexpialidocious/